• Je longeais la côte en rêvant de nous, de toi. Je nous revoyais rire de tout, de nous. Tu mettais du baume à mon cœur, j'ai passé mon enfance ici, chez toi. Ton rire, ta voix, tes grimaces, t'es affaires, je me souviens de tout, de toi. Aujourd'hui tu as laissé son cœur en émoi, le miens avec, le tiens n'est plus. Le temps s'est arrêté trop tard, sans toi. Je rêve de toi, nous rêvons de toi, pas toi. Le cœur vif et vide, crois moi. Maintenant tu me manques, je crois. Le temps passe, ton souffle s'efface. Mon esprit s'en va, pour toi. Ce n'est pas grand chose, pourtant c'est toi. Tu as laissé un goût d'amertume à mes mots, c'est trop. Nul sont mes sentiments, je mens. Pour toi, je crois, ce n'est qu'une question de temps, je mens. À jamais je longerais cette côte, rêvant de nous, de toi. Je te promets, j'essaie, pour toi. Le vent est fort, trop fort. Je vais à contre sens, sans trop savoir comment faire, je nous revois toi et moi, retrouvant cette mer dans cet hospice, écoutant les vagues, je pris pour que ça soit une blague, dis moi. Tes yeux, si bleu, tout de toi, c'est toi. Nos souvenirs, mon avenir, c'est toi, pour toi. Par ta faute, je crois, ton odeur toujours près de moi. Je veux que tu ris, que tu me cris, que tu vis, pour toi, pour moi. Je suis égoïste, mais ce n'était qu'une question de temps, pour nous, ou pour toi.. C'est trop tard, mon cœur n'est plus, mon esprit est vide, pour toi. Bientôt je te revois, mais sans toi, pour toi. Je te dis que je t'aime une toute dernière fois, plus jamais je ne pleurerais, plus jamais je ne t'aimerais, je mens, pour toi ou pour moi. Je t'aime à jamais, seulement plus jamais tu ne m'entendras, c'était pour toi. Je ne vois plus la fin, pourtant tout commence, sans toi, crois moi... 

     


    votre commentaire
  • Chaque jours passent,

    Et d'autre trépassent.

    Pendant que des vies se placent,

    D'autre se cassent.

     

     

    Il y a ces mœurs,

    Qu'ils nous apprennent par cœur.

    Et durant toutes ces heures,

    Ils nous broient le cœur.

     

    Notre esprit envahie,

    Il se sent trahi.

    Il apprend la sagesse,

    Mais il retient la maladresse.

     

    Que se soit en haut ou plus bas,

    Ça restera infini,

    Puisque on en perd ici,

    Mais on en gagne là-bas.

     

     

    Ces mœurs qui forment notre pensée,

    Reste dans le passé.

    Puisque le temps passe,

    Et nos pensées se dépassent.

     

    Toutes ces couleurs,

    Qui illumine notre malheur,

    A l'intérieur crée :

    Se sourire gaiement affiché.

     

    Ces mœurs ont fait du juste,

    Ce qui est injuste.

    Et ceci pour chaque opposé.

    Et cela en étant imposé.

     

    Malgré ces rencoeurs,

    Cette lueur d'espoir laisse espérer.

    Malgré ces rencoeurs,

    La faucheuse est passée.

     

    L'espoir fait vivre,

    Et la vie reste un cadeau.

    Puisque l'amour nous rend ivre,

    Et la mort est la rencontre du bourreau.

     

     

    Lorsque le moment est venu,

    On se jette à l'eau.

    Pourtant sans l'avoir vu,

    On comprend qu'il était trop tard,ou peut être trop tôt.

     

    On pose trop d'espoir en cette chance,

    Même dans les moments les plus intense.

    Mais au fond on affiche toujours la même image,

    Peu importe la situation nous restons sage,

    Sans afficher cette rage.


    5 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique